Analyse remarquablement bien menée.
Les femmes qui osent franchir le pas de l’apostasie sont en effet l’objet de délires massifs venant des paranoïaques monomaniaques enfermés dans l’idolâtrie mahométaine. Cela dit, les hommes ne sont pas en reste non plus, je pense notamment à des figures comme celles de Majid Oukacha, Naëm Bestanji et bien d’autres encore. L’idée d’adopter dans votre conclusion un point de vue psychopathologique sur ces délires de Mahométans est excellente et stimulante pour la réflexion.
On ne s’extrait pas si facilement de ses déterminismes….Pour preuve, l’attrait incontestable qu’exercent sur une Zineb les paillettes, l’argent facile et bientôt le carriérisme politicard semble t-il...C’est bien dommage et peut-être même fort dommageable pour l’indispensable cause qu’elle portait jusqu’ici avec honnêteté et courage. Mais comme vous le dites très bien dans votre introduction, ce n’est pas tant Zineb en tant que personne qui est analysée ici mais bien ce qu’elle symbolise et essuie de rejet, de dénigrements, d’insultes, de menaces et de folie, comme en essuient régulièrement les encore trop rares apostats de l’islam qui se tiennent dans l’ombre et mènent ce combat au quotidien.
Loin du cadre des chaires universitaires putréfiées par la bien-pensance, l’islamophilie et l’anti-occidentalisme, la sociologie, l’anthropologie et la rigueur intellectuelle ne seraient donc pas totalement mortes. Merci à vous de nous le prouver si brillamment une fois encore et bravo pour la qualité de ce travail.
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