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En guise d’éditorial : Notes éparses sur la logique de la consommation

Le but de ce texte n’est que de proposer quelques sujets de réflexions sur la consommation contemporaine et les sociétés qui les portent, sans autre prétention que de constituer des notes à partir desquelles il pourrait être intéressant de discuter. Je ne crois pas apporter quoi que ce soit de vraiment nouveau, mais plutôt ramasser quelques éléments qui, mis bout-à-bout, formuleront peut-être une question intéressante. Je m’interroge donc à voix haute, en espérant que mes questionnements puissent être partagés. Du fait de ce tâtonnement, les lignes qui suivent sont maladroites, hésitantes, et certainement un peu lourdes – pourvu qu’elles ne soient pas complètement incompréhensibles. Je ne peut donc que faire appel à la bienveillance de ceux qui pensent que la discussion collective de pistes peu explorées n’est jamais une entreprise vaine.
Je commence par synthétiser rapidement quelques aspects socio-politiques des sociétés de consommation, que je pense connus par la plupart des participants. A partir de là, j’essaie d’en dégager quelques dimensions magico-religieuses pour enfin discuter de leurs implications dans la perspective d’une rupture éventuelle avec le consumérisme. Je pars donc du postulat, que j’espère acceptable, que les schémas magico-religieux (pour dire vite) ont été des constantes dans l’histoire de l’humanité, dont l’histoire écrite ne représente qu’un petit pourcentage, et qu’ils conditionnent à un point insoupçonné notre rapport au monde, y compris et surtout lorsque cette dimension est déniée : nul besoin de s’attarder sur l’exemple de la vulgate marxiste et ses hagiographies, ses temples, ses messes, ses promesses, sa morale, etc. Mon propos n’est certainement pas d’affirmer qu’il n’y aurait qu’une éternelle répétition du même dans l’histoire (ma religion me l’interdit !), mais plutôt de mesurer où nous en sommes dans l’arrachement – ou le retour – aux mentalités archaïques, ou l’invention de nouvelles formes d’(auto)aliénation. (...) --------Lire la suite...
Tribune collective de Français de culture musulmane
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Sur cette page unique de la rubrique, quelques remarques rapides, réflexions, conseils et réflexes à propos de l’outil « Internet » tel que nous l’utilisons, et ce que nous estimons être des lieux communs sur le sujet.
« Le bolchevisme combine les caractéristiques de la révolution française avec celles de la montée en puissance de l’Islam. Marx a enseigné que le communisme était fatalement prédestiné à apparaître ; ceci produit un état d’esprit qui n’est pas très différent de celui des premiers successeurs de Mahomet. D’entre les religions, le bolchevisme doit être comparé avec le Mahométisme plutôt qu’avec le Christianisme ou le Bouddhisme. Le Christianisme et le Bouddhisme sont avant tout des religions personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour contemplatif. Le Mahométisme et le bolchevisme sont concrets, sociaux, dénués de spiritualité et intéressés à étendre leur domination sur ce monde. »
Bertrand Russel, « Pratique et théorie du bolchevisme », 1920

La confrérie des Frères musulmans, créée en 1928 en Égypte, constitue l’un des deux grands courants de l’islamisme mondial, avec le salafisme.
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