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mercredi 28 novembre 2012
par  LieuxCommuns

Sur la situation actuelle...

La réunion était publiquement annoncée sur notre site mais également ici : http://www.demosphere.eu/node/31285 Son but, au départ, était de discuter de la situation politique et sociale de cette rentrée post-électorale, à partir du tract « Elections 2012 : l’oligarchie à visage humain - (…)

En réponse à...

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mardi 4 décembre 2012 à 10h03 - par  Michel

La question peut être posée ainsi : « Comment propager ou retrouver consciemment et collectivement : cette histoire de la démocratie directe, de la révocabilité des chefs à la majorité constituée, de l’autogestion des affaires publiques et des besoins régulés, etc. ? » Car, il y a une peur souterraine chez chacun, vue une certaine infantilisation psychologique collective et un certain isolement individuel, qui est provoquée par le consumérisme. D’une part, la peste émotionnelle représentée par la médiatisation de masse des discours des élus oligarques populistes est un facteur de perte d’identité civile ; et d’autre part, le désir de fraternité compassionnelle de l’époque en réaction à l’implosion sentimentale des repères amoureux et amicaux est un autre facteur de désagrégation de la praxis individuelle et collective. D’une certaine façon, chacun est revenu de tout, sans avoir pu aller quelque part et partager avec d’autres une démarche théorique et pratique émancipatrice. L’irrémédiable de la situation de l’expression politique semble présenter les chefs de partis politiques comme des tribuns représentatifs de l’opinion publique ainsi que de la « parole publique réfléchie en commun et dans l’intérêt commun ». En oubliant de chanter le vers de l’Internationale : « … Ni dieu, ni César, ni tribun ! ». Ainsi, il existe d’un côté une velléité réifiée d’adhérer à des marchandises électorales partisanes ; et d’un autre côté, essayer de construire socialement et collectivement une mise en œuvre d’une pensée critique sociale. Ainsi, il faut brûler les ponts avec le trop grand compromis politique avec les forces partisanes de gauche et de droite et des extrêmes, afin de chercher dans cette retraite presque monacale, à reconstituer des forces de résistances radicales d’une « violence politique non-violente et insoumise ». Cela ne sert à rien de pleurnicher sur le Web 0.2 ; alors que sur l’ouvrage : il y a des informations à partager et à propager !

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